C’est un argument que l’on entend depuis la mort de Paul, tué par un automobiliste le 15 octobre. Mais est-ce vraiment le cas ? A-t-on raison de mettre sur le même plan les autos et les cyclistes ?
À Paris, il n’y a pas beaucoup d’intersections où le feu doit être respecté par les cyclistes non plus. La plupart des feux ont des petits panneaux jaunes qui autorisent les cyclistes à “griller le feu”.
Pour ce qui est de traverser un boulevard, ce que tu dis ne s’applique vraiment que pour un traffic fluide, ce qui est rarement le cas à Paris. Dans les faits, il est souvent plus simple de se faufiller parmis les voitures pendant que le traffic se démelle.
Alors les petits panneaux jaunes autorisent en effet de griller le feu, mais très souvent pour tourner à droite seulement. Il est très rare qu’il autorise à grille pour aller en face.
Quant aux boulevards, j’ai très rarement vu des boulevards bouchés, et si c’était le cas, les traverser se ferait au risque de se faire faucher par un deux-roues qui remonte la file à toute vitesse.
À Paris, il n’y a pas beaucoup d’intersections où le feu doit être respecté par les cyclistes non plus. La plupart des feux ont des petits panneaux jaunes qui autorisent les cyclistes à “griller le feu”. Pour ce qui est de traverser un boulevard, ce que tu dis ne s’applique vraiment que pour un traffic fluide, ce qui est rarement le cas à Paris. Dans les faits, il est souvent plus simple de se faufiller parmis les voitures pendant que le traffic se démelle.
Alors les petits panneaux jaunes autorisent en effet de griller le feu, mais très souvent pour tourner à droite seulement. Il est très rare qu’il autorise à grille pour aller en face.
Quant aux boulevards, j’ai très rarement vu des boulevards bouchés, et si c’était le cas, les traverser se ferait au risque de se faire faucher par un deux-roues qui remonte la file à toute vitesse.