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Cake day: May 8th, 2025

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  • All year round, magpies ravens and crows during the day, and it’s pretty common at night to see ugly (in a cute way) tiny bats zooming around. Of course there’s also the local fat cats inspecting their turf.

    During summer, there’s these huge grasshoppers the size of my hand that just can’t shut up and are loud as hell. And often at night, I can see ferrets or weasels climbing walls. Oh, and there’s a insect hotel right outside my window that hosts bumblebees every year.











  • J’ai terminé The Boys, le comics de Garth Ennis qui a légèrement inspiré la série du même nom. Et c’est pas un euphémisme tellement les deux trucs sont différents, enfin bref.

    Entre les moments où l’auteur détourne son récit pour insérer ses vues, ses grands moments de justesse et ses contradictions, je sais pas quoi en penser. C’est un effort impressionnant lorsqu’il s’agit de démolir son propos en ne voyant pas qu’on y participe aussi activement, ça c’est certain…

    Encore de la grande littérature, mais ranafoute, je l’ai dévoré ce truc : The Beginning After the End, un webcomic (une gauche dans la gueule) du genre isekai (suivi d’un spinning back fist pour le KO). Alors ouais, y a tous les clichés du genre, not’ gars meure pour être réincarné dans un monde de fantasy, il est un peu beaucoup élu des dieux, utilise les connaissances de son ancienne vie pour montrer qu’il en a une grosse, et il se constitue un harem de jeunes donzelles, etc… Sauf que… bah c’est bien fait en réalité. Déjà c’est pas un gros pervers comme dans Moche-au-cul Tensei ou Redo of a Diddler, chai pas trop quoi. Le petit Arthur, ça le ronge de s’attirer les faveurs de jeunes filles dont il pourrait être le padré, et il ne compte pas entretenir de relation autre qu’amicale avec elles. Mais c’est pas pour autant qu’il sait comment les repousser sans les blesser, la faute à son ancienne vie de roi, et ouais, qui ne lui aura pas permis d’avoir de relations humaines sincères à cause du protocole et un peu beaucoup à cause du trauma personnel. Franchement, même si de prime abord c’est rebutant à cause du genre, faut lui laisser une chance. 10 à 20 chapitres disons.




  • Faudra terminer Suikoden 2 ce mois-ci. J’ai déjà loupé une étoile (Clive…) donc je vais pas me casser les roustons à recruter tout le monde, j’aurais la mauvaise fin de toute façon. Ou alors je recommence avec un guide sur les genoux 🤔

    Ensuite chai pas trop si mon PC sera capable de le faire tourner, mais j’ai envie d’essayer Clair Obscur, ce p’tit jeu cocorico dont personne ne parle. Tu vois, j’entends tellement dire que c’est Sekiro au tour par tour que j’ai envie d’être en position légitime pour rabattre le caquet aux touristes du JiRPeuG qui connaissent pas Pépère Mario et Lost Odyssey.



  • Nothing beats that one I had when I was around 8.

    I was spending a few days at my aunt’s place. She lived in an apartment building and my best friend lived a couple floors up. At evening, my aunt tells me that my mom is waiting for me at my friend’s place. So I take the elevator, go up there, get out of it and see that the door is wide open. I get inside and there’s only my mom there, in the middle of the living room. The situation finally weirds me out, why would she come here and where’s my friend and her family? When I ask those questions, it gets weirder: whatever I have in front of me isn’t behaving like my mom, worse, even though it tries to smile, tries to sound reassuring, that thing looks at me with predator’s eyes. I ask it “who are you?” which makes it take a step toward me, still smiling. Fight-or-flight response triggers and I get the shit out of there, slamming the door on my way out (thanks dream for also locking it). While I’m frantically pressing the elevator button, whatever’s wearing my mom’s skin bashes at the door, trying to get out while hurling insults at me in that cliché demonic voice. Fortunately, I woke up just as the thing broke through it.