Quinze ans après sa naissance, le Web 2.0, celui des réseaux sociaux, des applis et de la disruption, est en train d'agoniser, sans qu'on sache encore réellement ce qui lui succédera. En cause : l'emmerdification, ou la lente dégradation du capitalisme de plateforme.
L’intérêt actuel de l’IA (et la raison pour laquelle on ne parle que de ça) est spéculative. C’est parce qu’il y a une grosse promesse, permettant des investissements importants qu’on en parle. Ça brasse de l’argent, un peu comme la blockchain (Bitcoin/NFT) ou le metaverse en son temps.
Pour autant, l’IA n’a pas encore fait la démonstration que les investissements dont elle fait preuve valent le coup.
Dire ça, ce n’est pas dire que l’IA ne sert à rien, mais que la relation entre l’argent qui y est investi et son retour sur investissements n’est pas aussi évidant que ça.
Ce que je veux dire c’est que le simple investissement dans l’IA n’est pas suffisant. Microsoft a aussi des billes dans l’IA, Amazon aussi. La différence c’est l’infra, ce sur quoi l’économie mondiale tourne. Et l’économie mondiale tourne avec des technologies Microsoft, Google, et Amazon, pas FB.
Pas sur pour facebook. Ils sont a fond sur l’IA. Reste a savoir où ça va et qui sortira gagnant de cette course là.
L’intérêt actuel de l’IA (et la raison pour laquelle on ne parle que de ça) est spéculative. C’est parce qu’il y a une grosse promesse, permettant des investissements importants qu’on en parle. Ça brasse de l’argent, un peu comme la blockchain (Bitcoin/NFT) ou le metaverse en son temps.
Pour autant, l’IA n’a pas encore fait la démonstration que les investissements dont elle fait preuve valent le coup.
Dire ça, ce n’est pas dire que l’IA ne sert à rien, mais que la relation entre l’argent qui y est investi et son retour sur investissements n’est pas aussi évidant que ça.
Ce que je veux dire c’est que le simple investissement dans l’IA n’est pas suffisant. Microsoft a aussi des billes dans l’IA, Amazon aussi. La différence c’est l’infra, ce sur quoi l’économie mondiale tourne. Et l’économie mondiale tourne avec des technologies Microsoft, Google, et Amazon, pas FB.