Alors que Rima Hassan et le militant brésilien Tiago Ávila ont été placés à l’isolement ce mercredi 11 juin, l’eurodéputée a annoncé sur X entamer une grève de la faim. F...
J’ajouterai que le flou (entretenu) sur le sujet est alimenté par le statut de la Palestine. Ceux qui disent qu’ils allaient en Israel reconnaissent implicitement l’annexion de Gaza par Israel.
Le thème de la prise d’otage est une rhétorique pour renvoyer dos à dos Israel et le Hamas, on peut la défendre mais le terme correct en l’occurrence est “prisonnier politique” (et c’est grave). Personnellement je trouve la comparaison avec la situation des otages douteuse.
Pas la peine d’utiliser la rhétorique terroriste: L’administration Netanyahu est reconnue comme l’autorité légitime en Israel, qui est reconnu comme un état par la plupart des états du monde. On va pas les ajouter à la liste des groupes terroristes.
La piraterie, oui, c’est un terme correct il me semble. On n’arraisonne pas de bateaux civils en dehors de ses eaux territoriales. Dans les ZEE le droit de passage est clairement établi (ça permet entre autres aux Russes d’utiliser le port de Kaliningrad, si on remet en cause le principe, on le fait pout tout le monde).
La pression marcherait sûrement mieux en appuyant sur le fait que c’est un incident diplomatique grave que de détenir une députée d’un pays (inexplicablement) allié sans raison légale et qui pis est dans le cadre d’une opération qui viole les lois internationales. Et rappeler que c’est la cause de sanctions.
Macron disait vouloir “une dynamique” pour lancer la reconnaissance de la Palestine, en voici une sur un plateau: la France peut commencer par clarifier officiellement que Gaza ne fait pas partie d’Israël et que cet arraisonnement était illégal.
J’ajouterai que le flou (entretenu) sur le sujet est alimenté par le statut de la Palestine. Ceux qui disent qu’ils allaient en Israel reconnaissent implicitement l’annexion de Gaza par Israel.
Le thème de la prise d’otage est une rhétorique pour renvoyer dos à dos Israel et le Hamas, on peut la défendre mais le terme correct en l’occurrence est “prisonnier politique” (et c’est grave). Personnellement je trouve la comparaison avec la situation des otages douteuse.
Pas la peine d’utiliser la rhétorique terroriste: L’administration Netanyahu est reconnue comme l’autorité légitime en Israel, qui est reconnu comme un état par la plupart des états du monde. On va pas les ajouter à la liste des groupes terroristes.
La piraterie, oui, c’est un terme correct il me semble. On n’arraisonne pas de bateaux civils en dehors de ses eaux territoriales. Dans les ZEE le droit de passage est clairement établi (ça permet entre autres aux Russes d’utiliser le port de Kaliningrad, si on remet en cause le principe, on le fait pout tout le monde).
La pression marcherait sûrement mieux en appuyant sur le fait que c’est un incident diplomatique grave que de détenir une députée d’un pays (inexplicablement) allié sans raison légale et qui pis est dans le cadre d’une opération qui viole les lois internationales. Et rappeler que c’est la cause de sanctions.
Macron disait vouloir “une dynamique” pour lancer la reconnaissance de la Palestine, en voici une sur un plateau: la France peut commencer par clarifier officiellement que Gaza ne fait pas partie d’Israël et que cet arraisonnement était illégal.